Copain, Ami, Confident Amant
Nous ne lavons jamais fait Lucile et moi. Malgré les apparences et sa façon coquine. Même très coquine.
Elle me faisait rédiger des annonces sur le net pour elle. Dans un coin dans sa tête, elle me disait sûrement gay, elle ne cherchait pas plus loin.
Une amitié exceptionnelle nous liait, sans aucune barrière. Sauf mon état dâme.
Elle corrigeait mes rédactions
les pimentaient. Sans gêne ni pudeur.
Elle voulait que je lui lève un mâle pour elle. Elle me montrait ce quelle attendait de lui.
Elle se projetait en lui idéalement.
Bien des fois Lucile narrivait plus interrompre son entrain
et elle jouissait devant moi. Les caresses imaginées quelle attendait de linconnu, la pourvoyait bien des fois, moi, jétais invité à corser les paroles, détailler au plus prêt les besoins de Lucile.
Jamais Lucile sétait dénudée, elle se caressait ses seins, son minou, son corps entier, sous son t-shirt, sa culotte. Sa nudité, je me la devais imaginer.
Sortant de ses défaillances jouissives, Lucile me donnait un bisou amical. Même sur les lèvres
familiale, rien de plus. Sorti de son vertige, elle se plotait contre moi.
Elle me disait que jétais privilégié de par sa confiance sans aucune limite. Je savais tout delle. Mes rédactions de plus en plus peaufinées mont appris à connaître son esprit, son corps, ses attentes.
Aucune autre personne ne pouvait jouer mon rôle. Sûrement remplaçable certes le jour quand elle aura trouvé son âme-sur. Ce jour-là, je devrais lui céder ma place au mieux.
Un jour quand Lucile voyait ma bosse, habillée dun grand sourire malin, y portait sa main dessus :
- Danny, tu va le trouver, ton havre, jen suis sûr. On a quà chercher dans le net en même temps, hein ?
Puis elle revenait sur le PC. Cest Lucile qui accouchait une annonce :
« Beau mâle, la vingtaine, blond, 1m80, sportif, chercher belle femme courageuse
»
puis Lucile interrompe sa rédaction :
- Euh
! Est-ce elle comment da verge Danny ? Faudrait que je le sache pour lannonce ! Tu peux me la montrer ? On est entre nous ?!
Lucile nattend pas ma réponse, car jen étais incapable, sidéré de son audace.
Elle me fait enlever le jean, même sort à mon boxer. Sorti de mon cagibi, ma verge saillant, les veines gonflées, se projette vers son visage comme un ressort.
- Waouh Danny ! Tu vas faire un malheur avec ça !
Bouche bée elle reste un instant en admiration, ce qui ne fait quaggraver mon état. Comme subjuguée Lucile y pose deux mains, presque formées comme une prière au long de ma tige, coulisse mon prépuce.
Elle ne pouvait plus quitter ma protubérance des yeux. Devant mon gland congestionné elle montre la niaque, porta ses lèvres dessus, accueille prémices érectiles, lenglouti.
Lucile sort un sein et porta son téton sur le nud palpitant, enleva son t-shirt et emprisonne ma verge, assigne un aller-retour, elle baisa ses nibards, accueillant le gland dans sa bouche.
Lucile me provoqua mon non-retour au bout de deux minutes, ventousa ma sève, aspire la gaine porteur de ma semence jusquau la dernière goutte.
Cest à ce moment là Lucile me regarda pour la première fois dans les jeux. Jy voyais un bonheur indicible, un sourire complice. Elle poursuivait ses préliminaires, Lucile se dénude dans le quart heure qui suivait :
- Viens la mettre dans mon panier Danny chéri,
vite, vite
je nen peux plus !
Elle menjambe, dos tourné, plaçant mon gland dans le centre du plaisir de son marécage vaginal que je voyais pour la première fois, aussitôt Lucile minonda de son effluve de cyprine.
Les hallucinâtes lèvres coulissent sur mon hampe, snt dessus, aux mouvements nirvanas. Ses plaintes augmentent, sous ses cadences amazoniennes, Lucile me baise. Ondulant son bassin, raclant son fond profond et partant dans un orgasme tonitruant.
Ses cris me stimulent, sans se quitter, on se lève se positionne en « mystérieuse entrevue » debout, puis elle se pencha, mais sur le sol, le soulevant aux tibias.
Dans posture de « Brouette » notre étreinte devienne encore plus saillante, jose même la tourner en « Bateau ivre », position effectivement délirante pour Lucile, spécialement pourvue à uvrer sur son point ultrasensible autour de son urètre. Nous nous gratifiant dune jouissance commune aussi cyclonique que terrifiante.
Terrassé ensuite, Lucile me tira, me dirigea en tête-bêche au sol à poursuivre langoureusement un soixante-neuf. Basculant de coté, nos langues parcourent nos orifices séparés par le périnée, corolle, vulve et clitoris se couvrent de caresses et léchouilles, sa magne anale soutient ma raideur, son habilité tactile et buccal vida une ultime fois ma sève.
Lors de notre repos mérité, Lucile, effaça toutes les brouillons dannonces quon avait élaborés.
- On nen a plus besoin chéri ! Me dit-elle.
- Oui, mon amour !
- Tu as mis du temps pour comprendre, chéri. Mais on y est parvenu !
- Je sais ! Mais je ne voulais pas perdre ton amitié en me montrant ardent !
- Jai mis trois mois. Mais je tai eu !
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